Les gîtes ruraux communaux.

D’Escrebieux en Pévèle, en passant par l’Ostrevent, des communes réhabilitent donc leurs gîtes communaux.

A l’aide de l’Espace en Pévèle, ou avec le FEDER, le Conseil Général, des projets, mêmes transfrontaliers (comme à Saméon), permettent de proposer ces logements, réhabilités et souvent aux normes HQE. Le financement est toujours possible, à l’aide des différents partenaires. Reste après la question de volonté des élus locaux.

A l’aide aussi de projets impliquant les jeunes, le projet INTERREG IV PISTES (projet d’insertion socioprofessionnel transfrontalier vers l’emploi), les différents partenaires permettent aux stagiaires, même n’ayant jamais travaillé dans le bâtiment, de trouver un emploi ou une formation à l’issue des travaux.

Le recours aux services techniques des communes peut permettre un allégement des factures des chantiers.

Le Douaisis connaît un nombre important de demandeurs d’emploi (20 000 environ, dont 25% sont les moins de 25ans).

Atout économique, écologique et touristique, les gîtes communaux peuvent permettre aux communes s’impliquant dans leur rénovation, de se faire connaître, voire connaître par la suite de nouveaux arrivants.

Remettre à neuf les gîtes communaux est donc porteur d’atouts pour tous : jeunes, organismes financeurs, futurs locataires, élus...

D’autres chantiers peuvent ainsi se créer avec les différents intervenants : commerces, estaminets, béguinages...

Nous ne rappellerons pas ici l’état des gîtes communaux bouvigniens, malgré les dépenses pourtant faites dans le passé...